•  Magique, merveilleuse, magnifique

    La lumière mauve m'emporte

    Elle m’aspire vers elle

    Dans ses mains, je m’endors

     

    Mélancolie, monotonie, ennui

    Je m’éveille, je veux m’enfuir

    Le mauve me lasse

    Comme la froideur des limbes

     

    Je n’ai plus faim, je n’ai plus mal. M’abreuver

    Est impossible. La maladie m’a assommée

    Avec masses et marteaux

     

    Méchante, monstrueuse, menaçante

    La mort mord. Elle m’attrape

    Et m’arrache à la vie.


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  • Commentaires arbitraires arrêtés

    Briment la forte vérité,

    Faisant souffrir de l'égoïste sécheresse

    Cette maladresse réprimée.

    Maladive détresse éminante.


    - Fermez vos oreilles, malheureuse!

    La contamination n'est pas élliminée!

    Il est vrai! Dans votre forte tête,

    Difficile d'entrer! Mais,

    Ne pourrissez point!


    Tumultueuse leçon.

    La maladie n'atteint pas. Si,

    Personne a l'idéalisation absolue.

    La souillure conjecturale,

    Brise l'armure. Lueurs du passé.


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  • La brise souffle la douceur,

    Un vent de légèrté et d'entente

    Qui est la liberté de ton coeur,

    Ce renard qui exige au mien détente

     

    Colombe qui touche mes yeux,

    Anime en moi la flamme,

    D'un parcours de roses veloutées

    Guidé par la voix rouge de mon coeur.


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